Découvrez une sélection de films qui sauront aiguiser votre curiosité...
Les Labels auteur du mois
Le Fil de Daniel Auteuil – 11 Septembre - Label Coup de Cœur
Daniel Auteuil est devant et derrière la caméra de ce film judiciaire inspiré d’une histoire vraie et présenté en Séance Spéciale au Festival de Cannes 2024. Il y incarne un avocat persuadé de l’innocence de son client accusé du meurtre de sa femme, bien décidé à tout faire pour remporter le procès. Face à lui, Grégory Gadebois incarne l’accusé et les deux comédiens se livrent à un grand exercice de jeu et d’interprétation.
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Ni chaînes Ni maîtres de Simon Moutaïrou – 18 septembre - Label L’Autre Regard
À la croisée du film historique et du survival, Ni chaînes Ni maîtres se passe sur l’Isle de France (actuelle île Maurice) en 1759 dans une plantation tenue par des esclaves. Malgré le danger et les châtiments corporels, Massamba et Mati s’échappent, avant d’être traqués par Madame La Victoire, la plus célèbre chasseuse d’esclaves de l’île, interprétée par Camille Cottin. Un film très personnel réalisé par le scénariste Simon Moutaïrou, qui passe derrière la caméra pour la première fois de sa carrière.
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Emmanuelle de Audrey Diwan – 25 septembre - Label L’Autre Regard
Nouvelle adaptation cinématographique du personnage culte créé par la romancière Emmanuelle Arsan, réalisée par Audrey Diwan et écrite par Audrey Diwan et Rebecca Zlotowski. Emmanuelle est portée par l’actrice Noémie Merlant et le film questionne le désir féminin et la sexualité avec un regard contemporain.
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Les films notables du mois
À son image de Thierry de Peretti – 4 septembre
Thierry de Peretti adapte le roman de Jérôme Ferrari et montre l’évolution de la Corse dans les années 1980, à travers le regard d’une jeune photographe en couple avec un autonomiste. Le cinéaste s’essaye pour la première fois à l’exercice de l’adaptation, mais reste dans une thématique de prédilection après Une vie violente (2017) sur la mafia corse. À son image a été sélectionné à la Quinzaine des Cinéastes au Festival de Cannes 2024.
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Tatami de Zar Amir Ebrahimi et Guy Nattiv – 4 septembre
Aux Championnats du monde, une judokate iranienne d’exception est menacée par la République islamique, qui lui demande de déclarer forfait pour ne pas tomber face à l’athlète israélienne. Entre la passion sportive et la pression politique, Tatami est un thriller sportif engagé qui rend hommage aux athlètes iraniennes ayant accompli l’impossible avant la révolte des femmes dans le pays.
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Le Procès du chien de Laetitia Dosch – 11 septembre
Première réalisation de l’actrice Laetitia Dosch qui s’intéresse à la cause animale en imaginant le procès d’un chien. Entre la comédie et le film judiciaire, Le Procès du chien, sélectionné dans la catégorie Un Certain Regard au Festival de Cannes 2024, est une façon pour l’actrice/réalisatrice de questionner le rapport de l’humanité au vivant et de rendre un vibrant hommage au plus fidèle ami de l’homme.
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Les Barbares de Julie Delpy - 18 septembre
À Paimpont, les habitants votent à l’unanimité — et sous la pression des caméras — pour l’accueil de réfugiés ukrainiens. Le jour J, des réfugiés syriens arrivent dans le village et font face à la réticence des villageois. Derrière un sujet social fort et d’actualité, la comédienne et réalisatrice Julie Delpy utilise l’humour et l’irrévérence pour parler d’humanité et n’épargne absolument rien et personne !
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Les Graines du figuier sauvage de Mohammad Rasoulof – 18 septembre
Alors que les protestations populaires concernant la liberté de la femme envahissent Téhéran, un juge d’instruction doit faire face au poids du régime en place et à l’envie d’émancipation de ses deux filles. Mohammad Rasoulof, cinéaste engagé ayant fui l’Iran, a obtenu le Prix spécial lors du dernier Festival de Cannes pour ce drame essentiel, qui dénonce un régime tout en montrant les prémices d’une révolution importante.
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Ma vie Ma gueule de Sophie Fillières – 18 septembre
Cette comédie dramatique sur une quinquagénaire désabusée traite des années écoulées et de la recherche de sens. Agnès Jaoui s’illustre une nouvelle fois dans un rôle tout en nuance, et incarne avec compassion une femme prête à changer de vie pour retrouver un brin d’espoir malgré le poids du passé. Le film a fait l’ouverture de la Quinzaine des Cinéastes au Festival de Cannes 2024.
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Megalopolis de Francis Ford Coppola – 25 septembre
Le projet titanesque de Francis Ford Coppola est enfin là. Après 30 ans de gestation, Megalopolis est l’accomplissement du cinéaste, une fable humaniste qui s’intéresse à l’effondrement et la décadence des civilisations, tout en questionnant le cinéma lui-même. Un projet singulier, original, et qui ne laisse personne indifférent.
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Vivre, mourir, renaître de Gaël Morel – 25 septembre
Un photographe tombe éperdument amoureux de l’un de ses sujets, lui-même en couple avec une femme. Ce qui s’apparente au départ à un simple triangle amoureux change radicalement de registre lorsque l’apparition du sida, à la fin du siècle dernier, bouleverse les rapports et les vies de chacun. Lou Lampros, Victor Belmondo et Théo Christine incarnent avec intensité un trio de personnages marqués par les sentiments et par l’imprévu.
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