Découvrez une sélection de films qui sauront aiguiser votre curiosité...
Nos Labels du mois
La chambre d’à côté de Pedro Almodóvar - Label Coup de Cœur – 8 janvier
Premier long-métrage entièrement réalisé en langue anglaise par Pedro Almodóvar, La chambre d’à côté réunit deux actrices prestigieuses, Julianne Moore et Tilda Swinton, dans un film traitant de la maladie et de la fin de vie. Adapté du roman Quel est donc ton tourment ? de Sigrid Nunez, La chambre d’à coté est centré sur deux amies à New York qui reprennent contact après des années, au moment où l’une d’elles en a le plus besoin. Un drame touchant, lauréat du Lion d’or à la Mostra de Venise !
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Mémoires d’un escargot de Adam Elliot - Label L’Autre Regard – 15 janvier
Le Cristal du long métrage du dernier Festival d’Animation d’Annecy ! Adam Elliot dresse le portrait touchant d’une petite fille introvertie passionée d'escargots dans un film d’animation en pâte à modeler aussi sensible que drôle. Entre son ambiance gothique et macabre et son regard sur la famille et la solitude, Mémoires d’un escargot est le premier grand film d’animation à ne pas rater en 2025.
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Jouer avec le feu de Delphine Coulin et Muriel Coulin – 22 janvier
Rapports familiaux sont au programme de Jouer avec le feu, alors qu’un père de famille constate que son fils ainé se rapproche progressivement de groupes d’extrême-droite. Vincent Lindon incarne un père dépassé par la situation et les deux frères sont interprétés par Benjamin Voisin et Stefan Crepon, deux nouvelles figures importantes du cinéma français.
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Un parfait inconnu de James Mangold – 29 janvier
Un nouveau biopic à découvrir en salles, s’intéressant à une légende de la musique Bob Dylan. Timothée Chalamet se glisse dans la peau du chanteur à une période de sa vie particulière -- et chante lui-même les titres de Dylan ! --, lorsqu’il s’essaye à une musique plus électronique après une folle ascension dans la musique folk. James Mangold retrouve le genre du biopic après le plébiscité Walk the Line en 2005, basé sur Johnny Cash, interprété alors par un certain Joaquin Phoenix.
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Les films notables du mois
Bird de Andrea Arnold – 1er janvier
Sélectionné lors du dernier Festival de Cannes, Bird est une plongée émouvante, poétique et contemplative dans la vie difficile de la jeune Bailey, 12 ans, dans le comté de Kent au sud de Londres. Son père, incarné par Barry Keoghan, est aimant mais absent, emmenant Bailey à rencontrer l’énigmatique Bird, qui lui fait progressivement changer sa vision du monde. La nouvelle pépite de la cinéaste britannique Andrea Arnold (Fish Tank, Les Hauts de Hurlevent, American Honey) !
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Hiver à Sokcho de Koya Kamura – 8 janvier
Un artiste français arrive à Sokcho, en Corée du Sud, dans l’espoir de trouver l’inspiration pour sa nouvelle œuvre. Il y rencontre Soo-Ha, d’un père inconnu également français, qui lui montre à quoi ressemble le vrai Sokcho, tout en questionnant son identité et son origine. Un film d’une grande tendresse avec Roschdy Zem, adapté du roman du même nom écrit par Elisa Shua Dusapin.
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Personne n’y comprend rien de Yannick Kergoat – 8 janvier
Faisant écho à l’un des scandales financiers les plus retentissants de la Vème République, Personne n’y comprend rien est un documentaire choc revenant sur l’affaire des financements libyens entre Nicolas Sarkozy et Mouammar Kadhafi, révélés par une large enquête de Mediapart en 2012. Revenant à l’origine du scandale et à son déroulé, ce film de Yannick Kergoat permet de saisir les tenants et aboutissants d’un procès qui doit s’ouvrir deux jours avant, le 6 janvier 2025.
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Je suis toujours là de Walter Salles – 15 janvier
Prix du meilleur scénario à la Mostra de Venise, Je suis toujours là se déroule à Rio de Janeiro en janvier 1971, en pleine dictature militaire. Un père de famille disparait, poussant sa femme et ses cinq enfants à chercher la vérité. Un film poignant sur une période complexe, qui bénéficie en outre du regard de Walter Salles, cinéaste brésilien ayant souvent dépeint son pays dans ses nombreux films.
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Le Quatrième mur de David Oelhoffen – 15 janvier
En temps de guerre, l’art peut-il tout de même exister ? Au Liban en 1982, Georges, comédien, se rend à Beyrouth au Liban pour respecter la promesse faite à un vieil ami : monter une pièce de théâtre malgré les conflits et rassembler les gens le temps d’une représentation. Un pari risqué, insensé, qui oblige Georges à revoir profondément sa conception du monde. Laurent Lafitte incarne avec charisme et conviction cet homme prêt à tout pour venir à bout de son projet.
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La Pie voleuse de Robert Guédiguian – 29 janvier
Robert Guédiguian réunit sa troupe habituelle dans le quartier de l’Estaque à Marseille, qu’il n’avait plus filmé depuis Les Neiges du Kilimandjaro en 2011. Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin et Gérard Meylan se donnent notamment la réplique dans un film traitant de la précarité et des conséquences, alors qu’une aide à domicile de personnes âgées est accusée d’abus de confiance.